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Encore un petit Werber pour la route. Rien de neuf sous le soleil mais ça fait toujours du bien. Le thème (probabilité, avenir, futur) me tenait moins à coeur que le thème de ma précédente lecture de cet auteur (sur le sommeil)... j'ai donc moins accroché. Par contre, la protagoniste, Cassandre, aime bien l'étymologie, ce qui a donné lieu à quelques apprentissages intéressants au cours du bouquin.
Cassandre donc, est une jeune fille de 17 ans qui a l'air d'avoir pas mal de soucis dans son école spécialisée. Elle fugue et on va suivre ses rencontres (Charlotte, les clochards, les gitans, le ministère de la Prospective) et en découvrir plus sur son passé et sa famille tout au long du bouquin... sur fond de mythologie grecque. Oui c'est un peu téléphoné... Pour une fois je vais évoquer la fin : elle ne m'a pas plue. Est ce que Werber a envie de faire un Cassandre II le retour de la vengeance? En tout cas il reste pas mal de points en suspens.
Même si je pense que c'est le bouquin de Werber sur lequel j'ai le moins accroché, il y a quand même quelques réussites, comme son chapitre 106, le concept de rétro-futurologie ou quelques citations ("La terre ne nous a pas été léguée par nos parents, elle nous a été prêtée par nos enfants", "Vivre à deux, c'est résoudre ensemble des problèmes qu'on n'aurait pas si on vivait tout seul", "La vérité est une grenade dégoupillée à utiliser avec parcimonie et pas avec n'importe qui", et "C'est pas parce qu'ils ont tous tort qu'ils ont raison")
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